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J’avais un petit fusil avec lequel je tuais

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J’avais un petit fusil avec lequel je tuais Empty J’avais un petit fusil avec lequel je tuais

مُساهمة من طرف Admin الأحد مارس 17, 2013 6:26 pm

Texte

J’avais un petit fusil avec lequel je tuais les moineaux.
Or, un jour, les moineaux n’étaient pas la. Mais il resta un pigeon. Alors, je le visai et il tomba
-Tu n’as pas honte de tuer ces petits bêtes ! dit derrière moi mon cousin.
- Oh ! je ne tire qu’en l’air pour leur faire peur, ils mangent tout, répondis-je.
- Allez, achève le, dit le cousin, ce n’est pas la peine de le faire souffrir.
Ainsi, je ramassai ce bel oiseau pour lui tordre le cou.
Mais, depuis ce jour, je cessai de tuer les oiseaux dans mon jardin
D’après E. Henriot (Le temps des innocents)
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sujet de devoir :Niveau 1e AM-Projet1- Séquence1
Sujet de devoir n°II – 1e épreuve
Texte
Un jour, comme à son habitude, lorsqu’elle allait au marché, ma mère me déposa dans la classe de mon père qui apprenait à lire à des gamins de six ou sept ans.
Pendant que mon père écrivait magnifiquement sur le tableau : « La maman a puni son petit qui n’était pas sage », je criai : « Non ! Ce n’est pas vrai ! » Soudain, mon père se retourna, me regarda, étonné, et s’écria :
─ « Qu’est-ce que tu dis ?
─ Maman ne m’a jamais puni ! Tu n’as pas bien écrit ! Il s’avança vers moi : ─ Qui t’a dit qu’on t’avait puni ? ─ C’est écrit ».
─ Voyons, voyons… dit-il, est-ce que tu sais lire ? »
─ Oui.
─ « Voyons, voyons… répétait-il. Eh bien, lis ». Alors, il dirigea la pointe de sa baguette en bois vers le tableau noir et je lus la phrase à haute voix.
Marcel Pagnol « La gloire de mon père » (Texte adapté)

Questionnaire – Télécharger document en PDF
Sujet de devoir surveillé n° II – 2e épreuve
Texte
Il était une fois trois petits papillons amis qui jouaient dans la prairie. L’un avait des ailes blanches, l’autre les ailes jaunes et le troisième était rouge. On dirait trois fleurs vivantes se posant sur les autres fleurs.
Soudain la pluie s’abattit et les trois insectes volants cherchèrent à se mettre à l’abri. Ils virent une marguerite blanche et lui demandèrent de les accueillir. « Je ne recevrai que le papillon blanc comme moi, les autres, allez chercher ailleurs ! » Mais le papillon blanc refuse de se séparer de ses deux amis.
Alors, ils voltigèrent et au loin, ils virent une tulipe jaune. Ils lui demandèrent de les abriter. Celle-ci répondit : « Trois, c’est trop, je ne prendrai que le papillon jaune et les autres débrouillez-vous ! Mais le papillon jaune répondit comme son ami aux ailes blanches.
Les trois amis allèrent auprès d’un coquelicot rouge et lui demandèrent de les abriter. Mais le coquelicot n’accepte d’abriter que le papillon rouge comme lui. Cependant, le papillon rouge ne voulait pas abandonner ses deux autres amis.
D’après un conte de K. Seguin
sujetdevoirsurveilldefranais1eam.pdf
Texte
Un cheval, des chevaux
Un jour, Miette, grimpée sur un tabouret, était à la fenêtre du salon et suivait ce qui se passait dehors.
Soudain, elle s’écria : Oh ! maman, le beau chevau ! » Alors sa mère agacée, lui crie dessus : « Miette ! encore cette faute ! On dit un cheval quand le cheval est tout seul, des chevaux quand il s’agit de deux ou plusieurs… Répète après moi : un cheval, des chevaux. » Et la petite fillette articula calmement et répondit qu’elle avait compris.
Quelques minutes après, Miette se retourna et continua de contempler la rue puis s’exclama : « Oh ! Le beau chevau gris, je n’ai jamais vu un chevau aussi gros ! » A cet instant, sa mère énervée, se leva en disant : « Encore ! Tu le fais exprès, tu as la tête dure et pourtant, je viens de t’expliquer « un cheval quand il n’y en a qu’un seul…
Alors, Miette répondit : « Oui maman, j’ai bien compris : un cheval quand il est tout seul, mais celui-là n’est pas tout seul, il y a un homme avec lui, le chevalier ! »
Mathilde Alanic, « La petite Miette »
Texte :
La voiture du fantôme
Il y a bien longtemps, une vielle dame avait du souci à cause d’un fantôme qui logeait dans le coffre de sa chambre. Tous les soirs, le fantôme sort du coffre et demande à la vielle femme d’allumer la télévision pour regarder les courses de voiture.
Un soir, il dit à la vieille dame de lui acheter une auto pour faire la course sur t’autoroute. Le lendemain, elle lui achète une belle voiture rouge. Quel bonheur pour le fantôme ! Alors, il se met à chanter très fort. La vielle femme se fâche lui dit de se calmer.
Depuis, toutes les nuits, il la laisse tranquille dans son logement et va se promener en auto sur l’autoroute.
D’après Eveline Reberg « L’auto fantôme » Edition Bayard Jeunesse
Le conte) » href= »http://motsdtete06damizour.unblog.fr/files/2010/02/devoirdefranais1eamlercitleconte1.pdf » target= »_blank »>Questionnaire – Télécharger en PDF
devoirdefranais1eamlercitleconte1.pdf

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J’avais un petit fusil avec lequel je tuais Empty رد: J’avais un petit fusil avec lequel je tuais

مُساهمة من طرف Admin الأحد مارس 17, 2013 6:27 pm

mmmmmmeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeerrrrrrrrrrccccccccciiiiiiiiiii pour le sujet et a plus tard

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